About this clown

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I often feel that we're all spinning slowly... like a mirror ball. Yes, we are all mirrors to each other. And so, it is the Light between us that I hope to help reveal and celebrate. /// J'ai souvent l'impression que nous sommes une boule disco qui tourne lentement. Nous sommes tous des miroirs pour les uns les autres. C'est donc la lumière qu'il y a entre nous que j'espère contribuer à souligner et à célébrer.

Wednesday, May 21, 2014

Vieux délire, vieille élucubration

(Écrit quelque jour de la fin 2013...)

Je ne sais plus dans quel blog me vouer. Puisque tout est pédagogique comme tout est politique. La pédagogie de la politique.
Entre deux langues, entre les nations, internationalement...
D'où venons-nous? Est-ce que le nationalisme est fondé dans la génétique? L'idée du clan, de la race... un concept qu'on n'ose plus considérer aujourd'hui mais qui perdure inconsciemment... Vouloir pouvoir cueillir le fruit de nos labeurs, être habitants de nos terres, sans se faire taxer et sans se faire envahir, librement.

Réflexions sur le nationalisme, sur la construction d'une idéologie qui définit ses racines par la tradition en même temps que le discours se construit de par les médias actuels...
La politique, c'est un organisme vivant.

Délire à l'orée de la trentaine

Poème écrit en octobre 2013

Merci.
Les mots, peuvent-ils être suffisants?
And in which language, anyway?
None of 'em can do justice to the way I feel.
Car je préfère le rythme aux mots-pas-vous? Comme lorsqu'un  rappeur enchaine des mots de plomb sur un beat qui fait battre-la-tête-coeur,
On ne peut que battre sa mesure.
   de toutes choses. De deux choses, lune.
ou l'aube, car à chaque jour suffit sa peine.
Sysyphe! Toi qui roule ta pierre à perpétuité.
Comme on connaît bien le feeling.

Pourquoi se battre? On se demande souvent.
Pourquoi s'ouvrir, s'ouvrir comment?

Big Bang.

Théorie. Pratique. Pragmatique.
Où allons-nous? On se demande souvent.
Pourquoi vouloir aller quelque part que ce soit
alors que toute l'existence se vit ici bas, maintenant?
Psychopop: l'instant présent.

Mais pas si c'est pour demeurer servile. Nietzsche said it:
''Mankind, is something that must be overcome! What have you do to overcome mankind?''

Je suis anarchiste, et poly-passionnée de métier.
Mais si vous êtes là,
 c'est que vous savez déjà ça.

Chroniqueure de l'heure critique. Calinours de la cybernétique. À coup de blogues je me défoule dans le Grand Vide. Dans le Void. Toward Infinite Space.

Call me spaced out. Well. Open your eyes. Our world now should contain the cosmos.


Une sorcière a witch. So I wish to cast a spell tonight, if you agree. Let us call it a wish. Je vous invite à écrire un souhait, d'en formuler un. Svp.





Bonsoir

Pouf! Je me replonge. Je reprends le temps d'exprimer...
Même si j'exprime déjà beaucoup souvent
J'exprime des projections et je projète mes impressions. J'essaie.
Les impressions du monde
m'impressionnent;

À l'autre bout de cette session d'enseignement
À prendre part et à adorer oeuvrer auprès ''des jeunes'' et tous ces collègues penseurs au bon coeur.

J'ai plein d'amour à donner! .. C'est le lien avec FoolofLove en fait!)- Ça me fait quand même étrange d'écrire dans cette espace. Je suis dans un autre pan de cette vie que j'écris depuis presque quatre ans... et pourtant. Je visais justement à décloisoner nos identités, ou du moins à les explorer.

Bien sûr, j'aimerais partager ma béâtitude avec toi
ou avec quelqu'un-e autre
Mais je suis bien forcée de voir la réalité:
La solitude est un fait
Tout comme nos milles amitiés.
Et la réalité est un fait

J'ai passé les trois derniers jours à méditer et à tenter, parfois avec succès, de m'habiter. Belle expérience. Toute l'expérience que je vis au cegep depuis les quatres derniers mois est une sorte de bénédiction. Une véritable roue de hamster, certes, une course, une initiation, mais j'en étais rendue là.

(Or je me pose toujours la même question: mais à qui je m'adresse au juste?)

En classe, ce que je préfère c'est entrer en connection avec les étudiants. Il n'est pas du tout faux que les étudiants ne veulent pas de cours magistraux: ils veulent qu'on les guide et qu'on leur transmette des ''connaissances''. Ils sont curieux, affûtés, aux aguets, impliqués, créatifs. Ils ont une vie bien réelle en dehors de l'école, mais elle n'en demeure pas moins un grand morceau. C'est ça que j'aime: rencontrer des êtres.

Bref, j'adore pratiquer ce métier. Et c'est beaucoup parce que j'aime moi même apprendre..
Et je me pose toujours l'autre même question: mais qu'est-ce qu'une relation au juste? Il en existe tant qu'il me semble absurde d'en chercher une seule définition. Or ce qui est trippant, c'est de continuer à y travailler.

Je voudrais que ceci soit mon topo, mais j'ai trop besoin de poésie.
J'aimerais dire à haute voix avec mes mots digitalisés, avec mes doigts robocamisés,
le feu qui consume tout, les rêves qui m'attisent: un earthship, l'autosuffisance, la culture, les amis, la musique. J'aimerais, m'exhalter jusqu'à en perdre haleine.
Soufiste envie. Rieur Sanglier.